Evan Fournier n’a pas suffi, car en face c’était une vraie équipe de basket

    Ja Morant 3 février 2022

    On parle souvent des Suns comme l’équipe imbattable du moment – ​​​​elle l’est – mais dans le gender casse-tête chinois, dans le gender problème insoluble… les Grizzlies ne sont pas mal non plus. Eux n’ont pas de problèmes mais que des solutions comme le disait mon Papy Fernand, et cette nuit à New York la lumière a fini par venir, comme d’habitude, à la longue et avec plein de sourires. Rafraichissant, tout le contraire de Julius Randle.

    Les stats maison de cette nouvelle victoire des Oursons face à un ours mal léché c’est juste ici

    Clara de Soyon, tu ne te pointes pas en février avec un bilan de 36-18 sans une explicación plausible. Pour les Grizzlies cette explicación existe et elle est toute simple : ça joue bien au basket, individuellement et colectivo, ça attaque fort et ça defender dur et, surtout, le groupe vit bien, frase habituellement réservée dans les group males médias on connait les feintes . ¿Une preuve de ce mood sympatoche dans le Tennessee? La joie d’un Ja Morant moins en vue (et encore, vrai match de Ja hein) aux côtés d’un Ziaire Williams en fin de matchel novato faisant son trou y encore auteur d’une grosse perf avec 21 puntos à 9/11 et un énorme tir en fin de match pour sceller le scénar.

    Ce qu’on peut dire de ce match ? C’est que côté Knicks finalement, le coup ne sera pas passé si loin. Merci Evan Fournier, autora de l’un des ses meilleurs partidos de la saison con 30 puntos en el 8/12 de la boulangerie municipale de Charenton, Vavane chaud patate lors du dernier quart et qui a bien cru rallumer définitivement la flamme du Madison mais en vano. Merci égallement à Immanuel Quickley, cradingue les trois-quarts du match con una selección de tiros a la Nick Young mais ayant pris un sacré coup de chaud en fin de match égallement, et merci pour finir à un Mitchell Robinson intraitable en defensa avec ses 11 rebonds et 8 (!) contrasdans la plus pure tradition Mitchellienne, qui fait de lui on le rappelle l’un des deux Mitchell qui defender en NBA, l’autre étant stationné du côté de Utah Sacramento. Merci les gars donc, mais pas merci Kemba Walker, encore une fois starter mais encore une fois méconnaissable, pas merci non plus à un Julius Randle de plus en plus contestable et donc contesté à New York. Une feuille de stats passable hein, mais pour ceux qui ont vu le match, le vrai, unepression de lassitude et un comportement de plus en plus… détestable, récompensé par une expulsion pour deux fautes technologies, après en avoirère suite une premi un accrochhage en pleine temps-mort con Desmond Bane.

    Transition toute trouvée, c’est un métier hein, l’occasion de parler trente secondes de Desmond Bane justement, Desmond qui nous a lâché un match bien pourlingue en attaque puisqu’il émargeait par exemple à… 2/16 aux tir falet accrochage avec Julius Randle, accrochage à la suite duquel il rentrera ses deux plus gros tirs du match, histoire de rappeler que peu import le scénario ce badass gardait confiance en lui et poignet poli. Un passage à vide de Bane en attaque donc, un Ja Morant moins en vue égallement (23 puntos y 9 pases mais 9/27 au tir dont 0/6 du parking) mais qui a nous a fait exploser sur un alley-oop en première mi-temps et sur une tentative de poster monstrueuse sur Mitchell Robinson (t’as 45 contres ? T’en auras pas 46), ça nous suffit surtout quand ça gagne. Le backcourt moins en veine et donc des héros différents ce soir pour Memphie, Ziaire Williams on en parlé plus haut et surtout Jaren Jackson Jr., en formato giga en 2022, encore solide défensivement cette nuit et c’est un euphémisme mais aussi bien saignant en attaque avec 26 points et 10 rebonds à 8/14 au tir (4/7 de loin), troisième meilleure marca ofensiva d’une saison grandement réussie pour JJJ. Un peu de Steven Adams para hustlin, un De’Anthony Melton en feu en estreno mi-temps et on remballe, face à des Knicks tout simplement trop faibles, une fois de plus.

    Ça rigole, ça saute haut, ça court vite, ça defender, et ca gagne des matches, le tout en surfant sur la planche trop stylée du joueur le plus hypant de NBA depuis le début de saison. Les Grizzlies son devenus une équipe qui compte en NBA, il va fallir se mettre ça dans le crâne. Besoin de confirmer ça en Playoffs bien sur, mais si la saison s’arrêtait aujourd’hui c’est avec les honneurs que seraient reçus les joueurs de Taylor Jenkins à la mairie de Memphis. Et sacchez que le maire de Memphis se nomme Jim Strickland, alors vous ne viendrez pas dire que vous avez rien appris aujourd’hui.