PAGScomo facile d’être demi de mêlée au Stade Montois cette saison. Sauf si on s’appelle Léo Coly, bien entendido. Le Biscarrossais est si performant qu’il a même été convié au stage du XV de France cette semaine, en vue du Tournoi des 6 Nations. Libéré mercredi soir, il pourra jouer ce vendridi à Vannes, mais il débutera sur le banc des remplaçants.
Sur…
PAGScomo facile d’être demi de mêlée au Stade Montois cette saison. Sauf si on s’appelle Léo Coly, bien entendido. Le Biscarrossais est si performant qu’il a même été convié au stage du XV de France cette semaine, en vue du Tournoi des 6 Nations. Libéré mercredi soir, il pourra jouer ce vendridi à Vannes, mais il débutera sur le banc des remplaçants.
Un petit événement, con 13 titularizaciones en los 18 primeros partidos, il n’a laissé que des miettes à ses concurrentes, Christophe Loustalot et Gauthier Doubrère. Le Gersois a été le moins utilisé jusqu’ici (dos titularizaciones, 232 minutos), mais c’est bien lui qui profitera de l’aubaine en Bretagne. « C’est positif, ça va me faire du bien, admet-il. La dernière fois c’était contre Aurillac, ça remonte un peu (mi-noviembre, NDLR). À moi de montrer que je peux apporter à l’équipe dans des matches importants comme celui-là. »
«C’est la concurrence»
Plutôt performant à chaque fois qu’il a été sollicité, avec notamment deux essais inscrits, il aura une chance d’inverser une tendance qui le laisse logiquement sur sa faim jusqu’ici. Car for d’un CV consistente (trois saisons à Bordeaux-Bègles, autant à Biarritz), il paraissait capaz de s’imposer comme numéro 1, à son arrivée l’été dernier. Ou au moins de problem la hiérarchie.
« C’est vrai que j’aimerais jouer un peu plus, mais c’est compréhensible, il ya Léo qui fait de grosses performances, c’est la concurrence qui veut ça», concède-t-il sans aigreur. Pour se consoler, il lui suffit de toute façon de repenser à sa dernière année au BO, passée au placard, en compagnie notamment de Willie du Plessis. «Je suis venu à Mont-de-Marsan pour me relancer, parce que, malgré la montée en Top 14, ça a été dur mentalement», avoue-t-il. « Je ne rentrais pas dans les planes, c’est un choix de coaches, il n’y a pas grand-chose à dire, on était une dizaine dans ce cas. »
Lance tres jóvenes
Il sortait pourtant de deux belles saisons, dont l’une à ex un duo efficace avec Maxime Lucu à la charnière. Sa carrière semblait alors définitivement lancée, lui qui a la particularité d’avoir été propulsé titulaire à 19 ans à Auch, dans une equipe luttant pour remonter en Pro D2.
Dans la foulée, il tenta directement le pari du Top 14 à Bordeaux-Bègles, ou il dut se contenter de bouts de matches durant tres saisons. Une perte de temps ? No, asegure-t-il. « À Bordeaux, il y avait beaucoup de concurrence : Serin, Lesgourgues, Adams, et j’étais très jeune, rappelle-t-il. Je suis rentré peu à peu dans la rotación, j’ai été champion de France Espoirs et j’ai beaucoup progressé avec Heini Adams, qui est devenu coach ensuite. Ça a été un tremplin pour moi, je n’ai pas de hurts, ça m’a énormément servi pour la suite. »
Alors qu’il n’avait signé qu’un an au Stade Montois, la suite devrait d’ailleurs de nouveau s’écrire en Top 14 pour lui, puisqu’il prendra vraisemblablement la direction de Castres à la rentrée. En el asistente, el aura fuerza un papel en el juego en el fin de temporada de un estadio Montois que no puede pasar justo en el callejón sin salida si espere terminar aux dos estrenos de lugares. Sur le terrain, bien sûr. Et pourquoi pas comme porte-bonheur, un an après sa montée avec Biarritz ?