Publicado el 16 de febrero. 2022 a las 22:51Mis à jour le 16 feb. 2022 a las 23:10
Le pire semble derrière nous. Selon le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, la pandémie de Covid-19 est «au début d’une nouvelle ère», marquée par une «circulation contrôlée du virus». «Nous sommes en train d’en finir avec Omicron», afirmar-t-il dans una entrevista en « Parisien » ce jeudi. Dans ce contexte, «si les bons chiffres se poursuivent, envisager de lever le passe vaccinal dès le printemps me paraît envisageable», estime-t-il.
Fin janvier, Jean-François Delfraissy, qui conseille le gouvernement face à la crise sanitaire, avait déjà laissé entender qu’il voyait la phase actuelle de l’épidémie «attterrir plutôt vers la mi-mars». C’est cette échéance que retient égallement le ministre de la Santé, Olivier Véran. «A la mi-mars, on pourrait beginr à se poser sérieuse la question du port du masque en intérieur et du passe vaccinal», at-il déclaré sur Franceinfo, ce mercredi matin.
Una «fase crónica»
Selon Jean-François Delfraissy, nous entrons désormais dans «una fase crónica» de l’épidémie. « On va s’acheminer doucement, probablement à l’automne, vers une status endémique, avec une circulation contrôlée du virus, mais avec de temps en temps des pics épidémiques dus à l’apparition de nouveaux variants. En claro, nous vivrons encore longtemps avec le Sars-Cov-2, mais de façon différente », poursuit-il.
« Avec un niveau de vacunación élevé et des rappels, vivre avec le Covid, c’est […] avoir une vie presque normale, laisser le virus circuler à condition que le niveau de contamination ne soit pas trop élevé. Et reprendre des mesures de restric- tion temporaire lors d’une reprise épidémique », explique-t-il. «C’est le modèle qui begin à se construire».
« Vivre avec le virus, c’est peut-être aussi sortir de cette notion d’obligation, qui a été jusque-là nécessaire. Y llega el final final à ce que les citoyens gèrent eux-mêmes leur vie en fonction du niveau de l’épidémie. On ne peut pas demander la même eligió à un jeune de 18 ans ou à quelqu’un d’âgé. Ce sera aux citoyens de choisir (d’enlever le masque, par exemple, ndlr), d’évaluer le risque », souligne ce dernier.
dosis cuádruple
Le président du Conseil scientifique met toutefois en garde : « ce n’est pas parce que la maladie s’installe de manière endémique qu’elle n’est pas grave ! Il va fallir beaucoup de temps pour que le Sars-Cov-2 devienne aussi benin que les autres coronavirus. Il y aura des moment de forte circulación virale», rappelle-t-il.
Dans ce contexte, une quatrième dose sera d’actualité, mais « pour les plus fragiles vaccinés depuis six mois ». Ce qui nécessitera «probablemente una nueva campaña de vacunación en octubre» «Nous n’irons pas vers une quatrième dosis généralisée», asegura-t-il.