Les cinq raisons derrière la chute vertigineuse de Facebook en Wall Street

Publicado el 4 de febrero. 2022 a las 12:50Mis à jour el 4 de febrero. 2022 a las 13:35

C’est du jamais vu dans l’histoire de Wall Street. Après avoir déclaré ses résultats jeudi dernier, Meta, la maison mère de Facebook, a perdu plus d’un quart de sa valeur. En un día, más 230 mil millones de dólares de valeur boursière se sont évaporés. Soit davantage que la valorisation d’Intel ou de McDonald’s. Quelles sont les raisons derrière cette chute ? Explicaciones en cinq puntos.

1. Facebook ne grandit plus

Quand il s’agit des mastodontes de la tech, les marchés financiers s’attendent à une croissance sans fin. Dans le cas de Facebook, le réseau social créé en 2003 par Mark Zuckerberg n’avait cessé d’ajouter de nouveaux utilisateurs… justo en el último trimestre de l’année dernière.

La baisse est certes minime – le nombre d’utilisateurs quotidien du réseau social est passé de 1.930 mil millones a 1.929 mil millones – mais le symbole est dévastateur. Les autres filiales du groupe Meta s’en sortent un peu mieux, mais la croissance ralentit quand même. A l’échelle du groupe, incluido Instagram, Messenger y WhatsApp, el nombre de los usuarios habituales y el progreso de 2,81 a 2,82 mil millones en tres meses.

Es posible que se sienta más preocupado por el hecho de que sobresalen los jóvenes que se pierden en Facebook y en Instagram, en las ganancias de Snapchat o en TikTok. Selon une étude réalisée par le cabinet Forrester auprès d’adolescents americains, âgés de 12 à 17 ans, l’utilisation d’Instagram a reculé de quatre points l’année dernière, passant de 61 % à hebate do dur s 57% que celle de aumento de TikTok, de 50 a 63%.

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2. Le group patit des connections d’Apple

Depuis le printemps dernier, Apple demande aux propriétaires d’iPhone s’ils acceptent d’être suivis d’une application à l’autre. La plupart d’entre eux rechazó. O bien, el modelo de Facebook repose sur la publicité. Plus celle-ci est ciblée, plus elle a de chances de rapporter gros.

Depuis ce changement, les publicités vendues par Facebook ont ​​​​perdu en précision. L’entreprise elabore d’autres outils pour adapter les publicités aux utilisateurs, mais les résultats ne sont pas encore à la hauteur, de l’aveu même de ses dirigeants.

3. Le pari du métavers n’est pas sûr d’être gagné

A l’automne dernier, Facebook a révélé son nouveau nom : Meta. L’entreprise de Mark Zuckerberg mise sur le métavers, un univers Virtul ou les utilisateurs seraient représentés par des avatars. Le groupe a révélé mercredi les résultats de Reality Labs, sa filiale dédiée à la réalité virtelle.

L’année dernière, cette division a perdu 10 mil millones de dólares. Et le groupe de Mark Zuckerberg est loin d’être asuré du résultat de ces investissements. Son casque de réalité Virtulle et Augmentée, bien que populaire, ne représente que l’une des portes d’entrée possible vers le métavers.

«C’est vraiment une question de confiance des consommateurs», nota Mike Proulx, directeur de la recherche chez Forrester. « Selon l’une de nos études, la plupart des consommateurs ne font pas confiance à Facebook et changer de nom ne permet pas de changer cette position. »

4. Corte de Instagram después de TikTok

Le succès de l’application TikTok, qui appartient au groupe chinois ByteDance, un imposé un nouveau format : celui des vidéos courtes. Un succès que le groupe a cherché à répliquer avec Reels, sur Instagram. Avec ce nouveau format, les utilisateurs peuvent créer des vidéos, y ajouter du son ou des effets spéciaux et les partager dans leur cercle d’amis et au-delà.

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Pour réussir cette Transition, Meta ne pourra pas se contenter de copier une formule à succès, mais devra aussi innover. Se dirigeants ont par ailleurs admis qu’il était pour l’instant plus compliqué de monétiser le temps passé sur Reels par les utilisateurs. En incitant les utilisateurs à passer du temps sur ces vidéos, Meta risque donc de faire baisser ses revenus.

5. Meta est dans le viseur des régulateurs

Qu’il s’agisse du Congrès américain, desinstituciones européennes ou des autorités de la concurrence, le groupe californien doit faire face à des attaques de toute part. L’effet de ciertas législations se fait déjà sentir, a déclaré Mark Zuckerberg lors d’une conférence avec les analistas. Il s’agit des règles européennes sur le partage des données (RGPD). Dos textos autres en cours d’élaboration, le DSA et le DMA, pourraient aussi nuire à la plateforme.

L’année dernière, les autorités européennes et britanniques de la concurrence ont lancé des enquêtes contre Facebook. Aux Etats-Unis, la Comisión Federal de Comercio (FTC) lui fait un procès. L’autorité américaine reproche au groupe d’avoir acquis ses rivaux Instagram et WhatsApp à des fins anticoncurrentielles. Même s’il ya peu de chances que ce procès aboutisse à un démantèlement du groupe, il représente néanmoins un casse-tête pour Meta.