Cáncer: «Lespatients se sentent abandonnés» en raison du délestage

Le délestage en raison des nombreux cas de COVID-19 dans les hôpitaux met en péril plusieurs personnes qui sont atteintes d’un cancer.

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«On voit des gens qui se présentent avec des cancers plus avancés que ce qu’on aurait vu en temps normal. On sait qu’il ya un taux de sous-diagnostic. On a moins diagnostiqué de cancer au Québec par rapport aux autres années antérieures» mencione al doctor Martin Champagne de l’Association des médecins hematologues et oncologues.

Le virus ne comble pas seulement les lits et le staff dans les hôpitaux, il retarde égallement les traitements pour lespatients.

«L’Omicron est tellement contagieux que les gens, soient dans leur entourage ou lorsqu’ils viennent à l’hôpital pour des hospitalisations, ont acquis l’infection et il en résulte donc une périodes dans laquelle nouv ni paus tests amorcer de traitements. Souvent avec l’Omicron, l’une des caractéristiques c’est que cela crée une gran fatiga qui chez les gens avec un cancer qui peut perdurer plus longtemps», explica el especialista.

Ce retard pourrait s’aggraver dans les prochaines années.

« On sait que d’ici 20 ans, on aura 8000 cas de cancer de plus, donc des dommages collatéraux de la pandémie. On pense que c’est vraiment le temps d’avoir une réflexion et d’avoir une approach qui est plus proactive» souligne Eva Villalba, directora general de la Coalition priorité cancer au Québec.

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«Le choix de société qu’on a fait c’est de prendre soin des gens qui ont la COVID et malheureusement la capacité du système fait en sorte qu’on néglige lespatients qui ont besoin de chirurgie grave et ciertos tipos de cáncer. Cela a de grands effets sur la société et il va fallir vivre avec pendant plusieurs années», explica le docteur.

Selon la directrice générale de la Coalition priorité cancer au Québec, le gouvernement doit se plante des questiones sérieuses sur le système de santé et elle croit même que ce serait possible de fonctionner sans délestage.

«Lespatients se sentent parfois abandonnés, parfois négligés, mais c’est sûr qu’ils ne se sentent pas priorisés par le système de santé actuel», dit-elle.