Richard Gasquet domina Mikael Ymer pour son entrée en lice à l’Open 13 de Marseille

Richard Gasquet domina Mikael Ymer pour son entrée en lice à l'Open 13 de Marseille

Évidemment, les jambes sont lourdes plus rapidement qu’avant, les petits pas d’ajustement parfois paresseux et les maladresses plus fréquentes. Mais Richard Gasquet est toujours un magnifique joueur de tennis. Ce lundi soir face à Mikael Ymer (6-4, 7-5), au premier tour de l’Open 13 de Marseille, le Français de 35 y ofreció au public marseillais ses éternelles merveilles de revers, un coup long de ligne, un coup court croisé. Hyper agressif, il a souvent suivi ses ofensivas au filet avec une grande efficacité. Et que dire de ses enchaînements lob-amortie qui ont fait tourner la tête de son bourreau de Montpellier…

« J’étais plus frais physiquement »a expliqué Gasquet sur le central du Palais des Sports après sa victoire autoritaire, lui qui s’était effondré dans la troisième manche face au même Suédois, il ya dos semaines en quarts de finale de l’Open-5 de France , 6- 7, 6-1). « J’étais un peu émoussé physiquement là-bas, j’avais fait deux matches durs, j’avais eu du mal à récupérer, rembobine-t-il. Aujourd’hui (lundi), j’étais mieux. J’ai réussi à bien me battre pour l’emporter. »

« Je n’ai plus la même force physique qu’avant, où je faisais beaucoup de droite-gauche. J’essaye aussi de mieux servir, de prendre la balle plus tôt. Lo más importante para el ahorro »

Richard Gasquet después de su victoria contra Mikael Ymer en Marsella

Avant cela, Gasquet avait maîtrisé les débats. En panne de premières balles au premier set (45%), le 76e mondial n’avait pourtant perdu que huit points sur son engagement durant cette manche. Ymer, lui, avait beaucoup mieux servi (81 %) mais il avait été beaucoup trop inefficace derrière ses deuxièmes balles (33 % de puntos ganados). Le 75e à l’ATP était en gran dificultad frente a aux retours très agressifs du Français qui, depuis plusieurs mois, s’oblige à prendre des risques pour raccourcir les échanges et éviter au maximum corp les interminables de sons rallyes .

Rublev l’attend au deuxième tour

« J’essaye un peuglisse-t-il. De temps en temps, je fais des erreurs parce que ce n’est pas naturellement mon jeu de frapper fort, d’avancer. Je prefère construire un peu. J’essaye de blender les deux. Je n’ai plus la même force physique qu’avant, où je faisais beaucoup de droite-gauche. J’essaye aussi de mieux servir, de prendre la balle plus tôt. Ça ne marche pas toujours, mais c’est important pour s’economiser, surtout ici sur une surface rapide. »