un nouveau variant découvert chez les rats des égouts de New-York

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    Selon une étude américaine parue dans la revue Nature le 3 février dernier, un nouveau variant du virus du Sars-Cov2 aurait été découvert chez les rats peuplant les égouts de New-York. Pour le moment, aucune preuve n’a pu être mise en évidence quant à une éventuelle circulant de ce variant.

    Ce sont des travaux menés sur les eaux usées des égouts de la ville de New-York qui ont permis d’identifier una nouveau variant. Plusieurs équipes de chercheurs américains, de différentes universités, ont été impliqués dans cette découverte. Ils ont publié leurs résultats dans la revue scientifique Nature du 3 février dernier.

    Contaminés par l’eau et les excréments

    De nouvelles «lignées cryptiques» du virus, non reconnues dans les bases de données ont été observées, suite au séquençage en profondeur des eaux usées. Les scientifiques suponen que les rongeurs se sont contaminés par l’eau ou les excréments présents dans les égouts. Más la preuve de la circulación chez les rats n’a pas encore été établie.

    «L’un des changesments d’acides aminés que nous observons dans le virus n’a pas été observé chez lespatients. Jamais. Mais ce changement d’acides aminés a été observé dans un virus adapté aux rongeurs, ce qui me dit vraiment quelque choose»declarado por Marc C. Johnson, virologue à l’Université du Missouri, coautor de l’étude.

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    Un prochain variant pour l’homme ?

    Pour devenir variant, un virus doit muter au moins une vingtaine de fois par rapport à la souche précédente et se difusor de manière très importante. Et pour muter, il doit passer d’organismes enorganismes. C’est cette circulation qui entraîne alors des changes, que l’on appelle mutation, qui sirvent au virus pour s’adapter à l’hôte qui l’héberge. Le prochain variant pourrait clairement émerger chez les rats dans un premier temps, selon les chercheurs. En effet, leur étude conclut en expliquant que «l’observation est cohérente avec la possibilité que ces lignées soient dérivées d’un hôte animal tel qu’un rongeur«.

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    Toujours à proximité de New York, le New York Times informe que des traces du variant Omicron ont été décelées chez des cerfs. Là encore, ciertos científicos craignent que ces cas chez l’animal puissent favoriser l’apparition d’un nouveau variant.